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Archer's Voice



  • Auteur : Mia Sheridan

  • Type d'ouvrage : Roman

  • Nombre de pages : 338 pages

  • Genre : Romance

Lu en anglais / Format numérique


Résumé :


Bree Prescott a choisi la petite ville de Pelion pour trouver la paix qu’elle recherche désespérément. Après avoir vécu un épisode traumatisant dans sa ville natale, plier bagage avec sa chienne, et ce, jusqu’à nouvel ordre, lui paraissait le meilleur moyen de prendre un nouveau départ. À peine installée dans sa maison près du lac, elle croise Archer Hale, un homme solitaire et mystérieux, qui cache au fond de lui une profonde souffrance. Un homme que personne ne voit, un homme qui a perdu la voix. Certaines histoires doivent tomber dans l’oubli, et d’autres sortir du silence. Ensemble, trouveront-ils la clé de la liberté ?

Parfois, un silence compréhensif est meilleur qu'un tas de mots dénués de sens.
 

Mon avis :

Ce n'est pas un roman que je m'attendais à apprécier : ce n'est pas du tout mon genre de lecture, je cherchais surtout une lecture facile en anglais et l'ebook n'était pas cher. Mais malgré la dose de mièvrerie attendue et quelques grosses ficelles, ça n'était pas désagréable à lire.

Il y a une intrigue en plus de l'histoire d'amour, ce dont je trouve que nombre de romances manquent cruellement. Elle est simple, parfois prévisible, mais elle existe assez pour aérer le roman entre les scènes de cul et celles où les personnages se font de longs discours pleins de chamallows grillés au feu de camp (la version enflammée de la guimauve, quoi).

La personnalité d'Archer est plutôt développée et son mutisme est le cœur de l'intrigue, pas juste un handicap uniquement là pour rendre le personnage moins banal. À part ça, il a quand même tout du Gary Stu standard, le fantasme sur pattes : mystérieux et incompris, incroyablement beau et intelligent mais qui l'ignore, d'une droiture qui rendrait jalouse mon équerre du CM2, dieu du sexe tout en étant puceau, dont le seul... « défaut » est de n'avoir aucune confiance en lui.


Bree m'a parue être une Mary Sue plus fade, moins développée que son homologue masculin et dont en outre le passé tragique ne semble être là que pour ajouter du pathos, il n'apporte rien à l'histoire à part un petit twist final que j'ai trouvé mal amené.

L'écriture est simple, fluide, et effectivement tellement facile à lire en anglais que j'oubliais vite que je ne lisais pas dans ma langue maternelle.

En bref :






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